mer. 12 juin 20h00
Cette
interrogation appelle beaucoup de questions.
N’est ce pas une des questions
essentielles de toute société qui a l’ambition de devenir meilleure (pas
facile si on peut en juger par rapport aux résultats!!!) ?
Il paraît convenable d’aborder
la problématique au niveau individuel, puis de se placer au niveau collectif.
Dans notre vie quotidienne
personnelle, nous sommes tous confrontés à des situations qui nous empêchent
parfois de dormir. Parfois, le malaise est bien différent car c’est nous qui avons fait du mal.
Ce n’est pas très agréable non
plus et nous voudrions bien que cela se termine (enfin pour certains)….
Assez souvent, dans
l’actualité, il nous arrive aussi d’être irrité, indigné, parfois jusqu’à la
violence devant des faits qui peuvent normalement nous faire réagir car ils
sont graves, dramatiques, injustes. Nous ne sommes pas directement concernés,
cependant, nous pouvons ressentir le besoin de réagir, chacun à notre manière. Cela semble normal, et c’est plutôt l’absence
de réaction qui serait inquiétante, mais essayons de rester calmes !
Ce qu’un individu est capable de faire, devient souvent irréalisable pour
une foule surtout quand elle a une
idée précise dans le crâne…
Avec le temps, tout finit par
s’oublier… Si le pardon a
certainement besoin de temps, l’oubli peut-il mener au pardon ?